Dur, dur la correction !

Après la phase "écrivain solitaire", voici la phase "écrivain qui corrige en solitaire"... Enfin, presque, parce que, en vrai, c'est compliqué de voir ses propres erreurs (à part d'orthographe) !

En plus, c'est un peu le rush professionnellement, ce qui ne me laisse pas le temps de travailler sur Intra-muros autant que je le voudrais (ce qui n'est pas plus mal, parce que je m'ennuierais si je ne faisais que ça).

C'est pour ça que j'ai une chance folle d'avoir des amis géniaux qui ont accepté de faire de la prébêta-lecture en parallèle de ma relecture, ce qui enlève au moins un milliard de choses là où je n'en aurais vu qu'une dizaine. (Moi, exagérer comme si j'étais originaire du Sud ? Mais nooon...)

J'ai décidé de faire une petite liste non-exhaustive des commentaires que j'ai reçus jusqu'à présent.

J'ai le plaisir de vous annoncer la naissance de...

Ça y est !

Ô joie, ô bonheur ! Le premier jet de mon roman est terminé !

Il fait 57 121 mots et 320 171 signes, c'est donc un bébé ni gros ni petit que j'ai nommé Intra-muros (pour le moment).

Comme je vous l'annonçais, le temps de la correction a sonné ! Et je dois avouer que, si j'avais des doutes quant à l'utilité de cette dernière phase avant l'envoi aux "bêta-lecteurs", maintenant, je comprends qu'elle est indispensable pour plusieurs raisons :

Résumé d'Intra-muros

Je vais essayer de ne pas trop entrer dans les détails (ceux qui m'ont d'ores et déjà gentiment proposé de lire mon premier jet pour l'améliorer méritent de garder le plaisir de la découverte) :

Maria-Liz est une jeune femme d'origine inca dont la famille a été exterminée par une meute d'hommes-loups (attention, je ne parle pas ici de loups-garous, mais d'un concept basé sur l'animisme).

Depuis des siècles, elle fuit pour leur échapper, jusqu'au jour où elle est recueillie par une famille de trafiquants d'armes vivant à Paris (mais il ne s'agit pas de la capitale telle qu'elle est aujourd'hui), qui lui proposent de travailler pour eux en échange d'un toit.

Là-bas, elle apprend des choses la concernant qui vont bouleverser sa vie (et celle des autres !) et rencontre des personnages hauts en couleurs...

Présentation d'Intra-muros

Passons aux choses sérieuses !

Une fois ma frénésie de nouvelles passée, j'ai décidé de m'attaquer à un projet plus ardu... un roman !

Sachant que ma patience laisse à désirer et que j'ai du mal à mener de longs projets à terme (si je vous listais tous les sports et cours divers et variés que j'ai commencés avant de me lasser...), vraiment, ce n'était pas gagné.

Et ça ne l'est toujours pas, mais on s'en rapproche !

Mon objectif en commençant : écrire environ 400 000 signes (espaces comprises) mettant en scène des personnages ni très gentils ni très méchants (les personnalités complexes, c'est plus amusant).

Trouver lesdits personnages n'a pas été difficile, leur "coller" un visage non plus.

Finalement décidée à écrire du young adult, j'ai décidé de réduire le nombre de signes (en partie pour me rassurer, je l'avoue), et je me suis attelée à la tâche !

Extrait de La Nuit, toutes les dames sont blanches

Avant d'attaquer les projets en cours, laissez-moi vous présenter La Nuit, toutes les dames sont blanches, une nouvelle parue dans l'anthologie Ghost Stories (tome 1), publiée aux éditions Asgard en octobre 2011, sous la direction de Thomas Riquet et Peggy Van Peteghem.

Même éditeur, mais pas tout à fait, puisque cette fois, c'est Peggy Van Peteghem qui a dirigé mon texte et non plus Thomas.

J'ai eu connaissance du thème de l'anthologie bien avant la date de rendu (même s'il ne s'agissait pas d'un appel à textes à proprement parler), ce qui m'a permis d'explorer plusieurs pistes différentes et de me renseigner (ce que je n'avais pas pu faire pour Sue³, et qui m'a manqué). Je voulais m'appuyer sur un fantôme habitant les légendes urbaines... mais lequel ? 

C'est alors qu'une drôle d'histoire qui m'était arrivée alors que je conduisais un soir, tard, dans la nuit, une voiture aux phares "optionnels" m'est revenue à l'esprit.

Et ma nouvelle était née ! (Mais je précise que moi, je n'avais pas bu avant de prendre le volant, c'est mal !)

Extrait d'Éternelle jeunesse

Il y a un peu plus d'un an maintenant, à l'occasion du salon Zone Franche, paraissait Éternelle jeunesse, une anthologie publiée par les éditions Asgard sous la direction de Thomas Riquet.

Pourquoi parler, de but en blanc, de cette anthologie ? Parce que je figure au sommaire, et que ce texte marque la première rencontre entre des personnages sortis de mon imaginaire et un public ! (Je ne vous raconte pas le trac ressenti quand quelqu'un vous annonce nonchalamment qu'il a lu votre nouvelle... et qu'il veut une dédicace.)

En tant que première expérience littéraire, cette nouvelle restera toujours importante à mes yeux (même si je me rends compte aujourd'hui que le style n'était pas tout à fait au rendez-vous), puisque c'est elle qui m'a décidée à présenter mes textes aux autres.
Et puis, quel plaisir de se retrouver aux côtés de Jean Millemann, Lucie Chenu, David Bry, etc., et de profiter de leurs conseils avisés !

Mon premier post !

Bonjour et bienvenue !

Voici le post inaugural de ce blog créé pour partager mes idées, mes projets... et demander votre avis tout au long de la rédaction des différentes histoires qui me trottent dans la tête !
Je vous invite à me suivre dans mes pérégrinations littéraires (je vais essayer de faire en sorte qu'elles soient divertissantes) dans les pays de la fantasy, la science-fiction et autres genres.

À bientôt pour de nouvelles aventures !